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Les paroles de la chanson
« Love to love »
Ridsa

Incomparable est notre vécu, sans tes bras j’me retrouve plus
A croire que j’ai perdu la vue
L’amour rend aveugle et comme un con je n’y ai pas cru
Sans toi ma vie n’existe pas, du moins n’existe plus
Je t’ai rencontré et comme on dit la lumière fut
J’suis sincère les sentiments s’téléchargent pas sur Emule
Mes doutes ont disparu et ma fierté a fait une fugue
Pas pour longtemps car j’reste un bonhomme dans la rue
Les faiblesses au placard devant eux j’faisais le mec dur
Cœur de pierre j’crois pas, devant toi j’changeais d’allure
Ma vie une double face, mon apparence un double jeu
Le jour un mec de tess et la nuit affectueux
J’cache bien mon jeu, en vérité j’ai que des as
Oubli le pique ou le trèfle pour moi ça sera du cœur
Comme au poker crois pas je cache mes cartes
Pour ne pas que tu devine ce que j’ai sur le cœur



Un jour tu m’aimes, un jour tu m’déteste
Un jour de la haine et un autre des regrets
Prends pas mon cœur pour un yoyo ni par intérêt
Car dans mon dos crois-moi, j’ai plus d’un couteau planté
L’amour se fait rare comme les vrais frères
La roue tournera on récolte ce que l’on sème
J’suis perdu j’en ai assez des faux « je t’aime »
Dans mon passé même le petit poucet arriverait à se perdre
Plus j’avance moins j’me contrôle ainsi va la vie
C’est peut-être un manque de toi ce ressenti
Sans toi le ciel est gris, j’ai remarqué que la vie
C’est pas la petite maison dans la prairie
Vivons au jour le jour demain est incertain
Y’as beaucoup trop de jaloux qui veulent barrer notre chemin
J’peux pas te parler du destin, l’amour est un héros
Mais moi j’appréhende que l’mien meurt à la fin



Si je m’exprime en studio c’est qu’en face j’ai du mal
Donc j’ai pris mon stylo pour déclarer ma flamme
Dans ma tête toujours la même image
J’ai essayé de tourner une page
Mais sur celle d’après c’est encore ton visage
Passe au dessus des « on dit » j’passerais au dessus des rumeurs
Avec toi le temps passe vite je n’vois pas passer les heures
Les ragots ne m’atteignent plus
Tranquillement j’attends notre heure
C’est peut-être ça qu’on appelle le bonheur
Mes crises de jalousie te rendaient folle je l’ai remarqué
Oubli pas c’est un défaut comme une qualité
J’ai des principes j’perdrais pas mon humilité
Même si je l’avoue une ou deux fois j’ai dû ranger ma fierté
Tu sais j’prends des risques en m’ouvrant comme ça
Si demain tout s’arrête pour me soigner oubli les dolipranes
Si un jour tu me hais tu m’as aimé ne l’oublie pas
Un dernier je t’aime j’met le point en fin d’phrase