Les paroles de la chanson
« Babylone »
AleyNa
Je manque de temps
Parfois je manque de pudeur
D’imprudence déviante
Noyer à l’alcool et aux heures
Je manque d’envie et d’espoir
J’ai bien le cœur mais pas la raison
Ni même un semblant pour croire
Qu’il reste de la rage ou de la passion
Faudrait que l’on se pardonne
Qu’on s’arrache le cœur ou les yeux
Je ne ferrais pas l’aumône
Mais j’aurai au moins les cieux
J’ai trop à prouver, à donner
Si mirifique soit Babylone
Je ne veux ni l’amour ni la pitié
Je me croire au jour, à l’aune
On est une milice, une prémisse
Une rature de jeunesse
Je voudrais mourir, être lisse
Etre à ma place dans les abysses
Faudrait que l’on se pardonne
Qu’on s’arrache le cœur ou les yeux
Je ne ferrais pas l’aumône
Mais j’aurai au moins les cieux
Je vais, je viens et je te pardonne
Je vais, je viens, je suis si loin
Je vais, je viens et je te pardonne
Et chaque va rejoindre son destin
Faudrait que l’on se pardonne
Qu’on s’arrache le cœur ou les yeux
Je ne ferrais pas l’aumône
Mais j’aurai au moins les cieux
Parfois je manque de pudeur
D’imprudence déviante
Noyer à l’alcool et aux heures
Je manque d’envie et d’espoir
J’ai bien le cœur mais pas la raison
Ni même un semblant pour croire
Qu’il reste de la rage ou de la passion
Faudrait que l’on se pardonne
Qu’on s’arrache le cœur ou les yeux
Je ne ferrais pas l’aumône
Mais j’aurai au moins les cieux
J’ai trop à prouver, à donner
Si mirifique soit Babylone
Je ne veux ni l’amour ni la pitié
Je me croire au jour, à l’aune
On est une milice, une prémisse
Une rature de jeunesse
Je voudrais mourir, être lisse
Etre à ma place dans les abysses
Faudrait que l’on se pardonne
Qu’on s’arrache le cœur ou les yeux
Je ne ferrais pas l’aumône
Mais j’aurai au moins les cieux
Je vais, je viens et je te pardonne
Je vais, je viens, je suis si loin
Je vais, je viens et je te pardonne
Et chaque va rejoindre son destin
Faudrait que l’on se pardonne
Qu’on s’arrache le cœur ou les yeux
Je ne ferrais pas l’aumône
Mais j’aurai au moins les cieux