Les paroles de la chanson
« Le mal de paris »
Marcel Mouloudji
J’ai le mal de Paris
De ses rues, d’ses boulevards
De son air triste et gris
De ses jours, de ses soirs
Et l’odeur du métro
Me revient aussitôt
Que je quitte mon Paris
Pour des pays moins gris
J’ai le mal de la Seine
Qui écoute mes peines
Et je regrette tant
Les quais doux aux amants
J’aime me promener
Dans tous les beaux quartiers
Voir au Palais-Royal
Les filles à marier
Traîner à Montparnasse
De café en café
Et monter à Belleville
Tout en haut de la ville
Pour la voir en entier
J’ai le mal du pays
Quand je suis loin de Paris
Me prend le vague à l’âme
J’ai le coeur qui s’ennuie
Je rêve à cette dame
Dont les toits épanouis
Autour de Notre-Dame
Font des vagues infinies
J’ai le mal de la nuit
De la nuit de Paris
Quand les filles vont et viennent
A l’heure où moi je traîne
J’ai le mal des saisons
Qui poussent leur voiture
Dans les rues de Paris
Et changent sa parure
Le printemps va gaiement
Les arbres sont contents
Puis l’été se promène
C’est dimanche toute la semaine
Les feuilles tombent, blêmes
J’ai le mal de Paris
Durant les jours d’hiver
C’est gris et c’est désert
Plein de mélancolie
Oui, j’ai le mal d’amour
Et je l’aurai toujours
C’est drôle mais c’est ainsi
J’ai le mal de Paris
De ses rues, d’ses boulevards
De son air triste et gris
De ses jours, de ses soirs
Et l’odeur du métro
Me revient aussitôt
Que je quitte mon Paris
Pour des pays moins gris
J’ai le mal de la Seine
Qui écoute mes peines
Et je regrette tant
Les quais doux aux amants
J’aime me promener
Dans tous les beaux quartiers
Voir au Palais-Royal
Les filles à marier
Traîner à Montparnasse
De café en café
Et monter à Belleville
Tout en haut de la ville
Pour la voir en entier
J’ai le mal du pays
Quand je suis loin de Paris
Me prend le vague à l’âme
J’ai le coeur qui s’ennuie
Je rêve à cette dame
Dont les toits épanouis
Autour de Notre-Dame
Font des vagues infinies
J’ai le mal de la nuit
De la nuit de Paris
Quand les filles vont et viennent
A l’heure où moi je traîne
J’ai le mal des saisons
Qui poussent leur voiture
Dans les rues de Paris
Et changent sa parure
Le printemps va gaiement
Les arbres sont contents
Puis l’été se promène
C’est dimanche toute la semaine
Les feuilles tombent, blêmes
J’ai le mal de Paris
Durant les jours d’hiver
C’est gris et c’est désert
Plein de mélancolie
Oui, j’ai le mal d’amour
Et je l’aurai toujours
C’est drôle mais c’est ainsi
J’ai le mal de Paris