Les paroles de la chanson
« Messieurs les militaires »
Michel Bühler
Quand vous ferez la guerre, ne comptez pas sur moi
Messieurs les militaires, pour jouer au soldat
Pour tirer sur des hommes sans demander pourquoi
Pour vous obéir comme vous l’espérez, je crois
Vous avez cru me prendre quand je vous ai suivi,
Moi, je voulais apprendre à tenir un fusil
Je ne veux pas défendre n’importe quel drapeau
Je veux d’abord comprendre à qui j’offre ma peau
Quand fous ferez la guerre, vous la faites aujourd’hui
Messieurs les militaires, dans de lointains pays
Vous semez la misère, la mort, pour le profit
De grands hommes d’affaires qui sont au chaud ici,
Qui gardent leurs mains blanches, qui ont de beaux habits,
Des habits du dimanche, même le mercredi,
Etes-vous donc si bêtes pour être si odieux?
Non, simplement vous êtes du même monde qu’eux
Quand vous ferez la guerre, messieurs les officiers,
Tortionnaires en puissance, valets des financiers
Tout au long de l’histoire vous avez exploité
Les miens pour votre gloire, l’auriez vous oublié?
Et vous voulez me faire croire que nous venons
Tous de la même terre, je vous réponds que non
Quand vous ferez la guerre je choisirai mon camp
J’irai avec mes frères avec les pauvres gens
Vous êtes de la race des maîtres et des seigneurs
Il n’y a pas de place pour vous dedans mon cœur
Nous n’avons pas le même intérêt vous et moi
Et la couleur que j’aime, vous, vous ne l’aimez pas
Juste encore une chose avant de vous quitter
Une Question que je pose, en toute humilité
Saurez-vous me comprendre si je vous remercie?
Vous avez su m’apprendre à tenir un fusil
Messieurs les militaires, pour jouer au soldat
Pour tirer sur des hommes sans demander pourquoi
Pour vous obéir comme vous l’espérez, je crois
Vous avez cru me prendre quand je vous ai suivi,
Moi, je voulais apprendre à tenir un fusil
Je ne veux pas défendre n’importe quel drapeau
Je veux d’abord comprendre à qui j’offre ma peau
Quand fous ferez la guerre, vous la faites aujourd’hui
Messieurs les militaires, dans de lointains pays
Vous semez la misère, la mort, pour le profit
De grands hommes d’affaires qui sont au chaud ici,
Qui gardent leurs mains blanches, qui ont de beaux habits,
Des habits du dimanche, même le mercredi,
Etes-vous donc si bêtes pour être si odieux?
Non, simplement vous êtes du même monde qu’eux
Quand vous ferez la guerre, messieurs les officiers,
Tortionnaires en puissance, valets des financiers
Tout au long de l’histoire vous avez exploité
Les miens pour votre gloire, l’auriez vous oublié?
Et vous voulez me faire croire que nous venons
Tous de la même terre, je vous réponds que non
Quand vous ferez la guerre je choisirai mon camp
J’irai avec mes frères avec les pauvres gens
Vous êtes de la race des maîtres et des seigneurs
Il n’y a pas de place pour vous dedans mon cœur
Nous n’avons pas le même intérêt vous et moi
Et la couleur que j’aime, vous, vous ne l’aimez pas
Juste encore une chose avant de vous quitter
Une Question que je pose, en toute humilité
Saurez-vous me comprendre si je vous remercie?
Vous avez su m’apprendre à tenir un fusil