Les paroles de la chanson
« Mort de peine »
Assassin
Rockin’ Squat
Qui a le droit de vie ou de mort sur un homme?
Des lois son mises en place par des gens en uniforme,
la cour a rendu sont jugement,
Je serais exécuté au bout du couloir par empoisonnement.
J’étais gênant, depuis longtemps, ils attendaient ce moment,
l’occasion suprême de pouvoir me plonger les mans dans leur sang,
aujourd’hui même l’opinion publique me croit coupable
c’est fou comment les gens retournent leur veste dès qu’on leur mash up le mental.
Certains pays préconisent la peine de mort pour remédier à la folie
qui s’évapore de nos villes de nos hommes, de notre planète,
on surveille puis on punit, c’est un très vieux concept.
C’est logique, pour l’équilibre politique,
c’est le même scénario que MUMIA ABU DJAMAL en Amérique,
et tellement d’autres, que même dans ma cellule mon stylo calcule,
accumule les formules, prend des coups et bascule,
mais jamais ne capitule, donc quelques mots avant le grand saut.
Aujourd’hui c’est moi qui suis victime des vautours qui gouvernent,
si tu gênes on te juge puis on t’enferme, mais c’est le même système
que tu aimes qui niquera tes enfants, restons conscients...
D’
Comparons le système a une femme enceinte qui se came,
son enfant verra le jour en état de manque: paix à son âme!
Et la mère, réalise son malheur, enfantant dans la douleur
peut décider de ne plus reconduire les mêmes erreurs.
Le système, lui, renie l’enfant a problèmes,
il efface avec dédain ceux qui ne valent rien sur son barème,
pratiquant l’infanticide il créa la peine capitale :
la violence quitterait la rue pour siéger dans un tribunal!
Pris dans l’engrenage de sa mécanique le système prône la répression,
aujourd’hui il ne sait que faire de ses enfants qu’il dit "habités par le démon".
Ainsi, on éliminerait ceux qui ne marchent pas droit, ainsi,
il faudrait décapiter ceux qui enfreignent vos lois, non,
non je ne roule pas dans cette combines la,
mon respect pour la vie humaine à ces bullshits met le hola.
Seul le soir dans ma chambre lorsque ces idées macabres m’envahissent
voilà que mon corps tremble, qui sommes nous,
où allons-nous, dans quel sens tourne la roue?
Je constate avec dégout que la conscient humaine a pris des coups et je pense...
si j’exécute celui qui a tué, ne devrais-je pas encourir la même peine
pour avoir perpétré le même acte que celui pour lequel on l’a condamné?
Réfléchissez...
Djamal
L’homme peut donner la vie, mais peut-il la prendre?
C’est le pouvoir d’éliminer qui peut nous méprendre,
avez vous pensé que les gouvernements pourraient appliquer
La peine de mort envers les soi-disant déviants, militants et consorts?
Déjà gommés au cours du temps, les hérétiques,
Les sorciers, combien de survivants?
Par le feu, par la lame, par une balle dans la tête nette
Et sans "bavures", l’injustice se répète.
Voici un nouveau biais pour éliminer les rebelles,
C’est la peine capitale qui lance son appel.
Le pouvoir change les hommes,
Il donne sa parole mais jamais ne pardonne,
C’est une question de confiance,
C’est aussi la ligne de conduite adoptée en France.
J’arrache le voile, laisse couler une larme,
L’État nous pousse a prendre les armes,
La chandelle se consume jusqu’au jour ou la flamme se meurt,
coupable d’un crime ou victime du malheur.
Ma muse est la mort mais je respecte la vie,
Celle de mon frère et celle d’autrui, l’épitaphe de ce morceau le voici.
Réfléchissez y...
Qui a le droit de vie ou de mort sur un homme?
Des lois son mises en place par des gens en uniforme,
la cour a rendu sont jugement,
Je serais exécuté au bout du couloir par empoisonnement.
J’étais gênant, depuis longtemps, ils attendaient ce moment,
l’occasion suprême de pouvoir me plonger les mans dans leur sang,
aujourd’hui même l’opinion publique me croit coupable
c’est fou comment les gens retournent leur veste dès qu’on leur mash up le mental.
Certains pays préconisent la peine de mort pour remédier à la folie
qui s’évapore de nos villes de nos hommes, de notre planète,
on surveille puis on punit, c’est un très vieux concept.
C’est logique, pour l’équilibre politique,
c’est le même scénario que MUMIA ABU DJAMAL en Amérique,
et tellement d’autres, que même dans ma cellule mon stylo calcule,
accumule les formules, prend des coups et bascule,
mais jamais ne capitule, donc quelques mots avant le grand saut.
Aujourd’hui c’est moi qui suis victime des vautours qui gouvernent,
si tu gênes on te juge puis on t’enferme, mais c’est le même système
que tu aimes qui niquera tes enfants, restons conscients...
D’
Comparons le système a une femme enceinte qui se came,
son enfant verra le jour en état de manque: paix à son âme!
Et la mère, réalise son malheur, enfantant dans la douleur
peut décider de ne plus reconduire les mêmes erreurs.
Le système, lui, renie l’enfant a problèmes,
il efface avec dédain ceux qui ne valent rien sur son barème,
pratiquant l’infanticide il créa la peine capitale :
la violence quitterait la rue pour siéger dans un tribunal!
Pris dans l’engrenage de sa mécanique le système prône la répression,
aujourd’hui il ne sait que faire de ses enfants qu’il dit "habités par le démon".
Ainsi, on éliminerait ceux qui ne marchent pas droit, ainsi,
il faudrait décapiter ceux qui enfreignent vos lois, non,
non je ne roule pas dans cette combines la,
mon respect pour la vie humaine à ces bullshits met le hola.
Seul le soir dans ma chambre lorsque ces idées macabres m’envahissent
voilà que mon corps tremble, qui sommes nous,
où allons-nous, dans quel sens tourne la roue?
Je constate avec dégout que la conscient humaine a pris des coups et je pense...
si j’exécute celui qui a tué, ne devrais-je pas encourir la même peine
pour avoir perpétré le même acte que celui pour lequel on l’a condamné?
Réfléchissez...
Djamal
L’homme peut donner la vie, mais peut-il la prendre?
C’est le pouvoir d’éliminer qui peut nous méprendre,
avez vous pensé que les gouvernements pourraient appliquer
La peine de mort envers les soi-disant déviants, militants et consorts?
Déjà gommés au cours du temps, les hérétiques,
Les sorciers, combien de survivants?
Par le feu, par la lame, par une balle dans la tête nette
Et sans "bavures", l’injustice se répète.
Voici un nouveau biais pour éliminer les rebelles,
C’est la peine capitale qui lance son appel.
Le pouvoir change les hommes,
Il donne sa parole mais jamais ne pardonne,
C’est une question de confiance,
C’est aussi la ligne de conduite adoptée en France.
J’arrache le voile, laisse couler une larme,
L’État nous pousse a prendre les armes,
La chandelle se consume jusqu’au jour ou la flamme se meurt,
coupable d’un crime ou victime du malheur.
Ma muse est la mort mais je respecte la vie,
Celle de mon frère et celle d’autrui, l’épitaphe de ce morceau le voici.
Réfléchissez y...