Les paroles de la chanson
« Bravo le quatorzième »
Eric Kristy
Je me rongeais les ongles, assis sur le trottoir
Le bus était complet, c’était sept heures du soir
Le feu rouge était vert et ça m’était égal
Faut dire que, côté cœur, c’était pas l’idéal
J’avais la tête en bronze comme une fontaine Wallace
J’étais gai comme les pins d’un hiver monégasque
Le feu vert était rouge et ça m’ passait au-dessus
J’étais seul dans mon pull, l’amour, y en avait plus
{Refrain:}
Bravo le quatorzième
Merci le quatorzième
C’est l’ quartier de l’amitié
C’est pas celui de l’amour
Bravo le quatorzième
Merci le quatorzième
Faudra que j’ déménage un jour
Au bois-charbon du coin, c’était vraiment trop noir
Chez moi, n’en parlons pas, y avait plus rien à boire
Le feu rouge était jaune et je m’en foutais bien
Faut dire que, côté cœur, j’ buvais tout mon chagrin
Au fond d’ la tête, j’avais comme une guitare cassée
Une vieille guitare en flamme qui m’empêchait de bouger
Le feu rouge était bleu, qu’est-ce que ça pouvait faire?
J’avais froid à la peau, pourtant c’était l’enfer
{au Refrain}
Je me rongeais les ongles, assis sur le trottoir
Le bus était complet, c’était sept heures du soir
Le feu rouge était noir et ça m’était égal
Faut dire que, côté cœur, c’était pas l’idéal
J’ai dormi sur un banc en attendant la mort
La seule solution au désespoir trop fort
Et puis, j’ai eu si froid que j’ai changé d’avis
Si j’avais eu beau temps, où en serait la vie?
{au Refrain}
Le bus était complet, c’était sept heures du soir
Le feu rouge était vert et ça m’était égal
Faut dire que, côté cœur, c’était pas l’idéal
J’avais la tête en bronze comme une fontaine Wallace
J’étais gai comme les pins d’un hiver monégasque
Le feu vert était rouge et ça m’ passait au-dessus
J’étais seul dans mon pull, l’amour, y en avait plus
{Refrain:}
Bravo le quatorzième
Merci le quatorzième
C’est l’ quartier de l’amitié
C’est pas celui de l’amour
Bravo le quatorzième
Merci le quatorzième
Faudra que j’ déménage un jour
Au bois-charbon du coin, c’était vraiment trop noir
Chez moi, n’en parlons pas, y avait plus rien à boire
Le feu rouge était jaune et je m’en foutais bien
Faut dire que, côté cœur, j’ buvais tout mon chagrin
Au fond d’ la tête, j’avais comme une guitare cassée
Une vieille guitare en flamme qui m’empêchait de bouger
Le feu rouge était bleu, qu’est-ce que ça pouvait faire?
J’avais froid à la peau, pourtant c’était l’enfer
{au Refrain}
Je me rongeais les ongles, assis sur le trottoir
Le bus était complet, c’était sept heures du soir
Le feu rouge était noir et ça m’était égal
Faut dire que, côté cœur, c’était pas l’idéal
J’ai dormi sur un banc en attendant la mort
La seule solution au désespoir trop fort
Et puis, j’ai eu si froid que j’ai changé d’avis
Si j’avais eu beau temps, où en serait la vie?
{au Refrain}