Les paroles de la chanson
« Bye bye ! »
Lys Gauty
Tout d’abord, ce sont des images
Des jeux, des rondes, des chansons
On a dix ans, ce n’est que l’âge
De bien apprendre ses leçons
On sait des dates éphémères
Des noms de rois, des mots latins
On a parfois une grand-mère
Et l’on a tout le temps très faim
Le ciel est bleu sur les vacances
Le sommeil blanchit l’oreiller
Mais il faut dire à son enfance
"Bye bye! Bye bye!"
Puis voici d’autres paysages
Des fleurs, des danses, des grelots
On a vingt ans, ce n’est que l’âge
Où le champagne coule à flots
On court après d’autres mirages
On a trente ans, quarante et puis
Voici qu’un jour près du visage
Les cheveux bruns deviennent gris
On veut la gloire et la richesse
On poursuit ce qu’on voit briller
Mais il faut dire à sa jeunesse
"Bye bye! Bye bye!"
Un soir, c’est la fin du voyage
On a passé le pont tremblant
Et voici qu’autour du visage
Les cheveux gris deviennent blancs
On sait, quand vient cette seconde,
Combien l’orgueil était trompeur
Et qu’il n’est rien qui vaille au monde
Un peu d’amour et de bonheur
Le pauvre cœur par élégance
Veut encore un instant crâner
Mais il faut dire à l’existence
"Bye bye! Bye bye!"
Des jeux, des rondes, des chansons
On a dix ans, ce n’est que l’âge
De bien apprendre ses leçons
On sait des dates éphémères
Des noms de rois, des mots latins
On a parfois une grand-mère
Et l’on a tout le temps très faim
Le ciel est bleu sur les vacances
Le sommeil blanchit l’oreiller
Mais il faut dire à son enfance
"Bye bye! Bye bye!"
Puis voici d’autres paysages
Des fleurs, des danses, des grelots
On a vingt ans, ce n’est que l’âge
Où le champagne coule à flots
On court après d’autres mirages
On a trente ans, quarante et puis
Voici qu’un jour près du visage
Les cheveux bruns deviennent gris
On veut la gloire et la richesse
On poursuit ce qu’on voit briller
Mais il faut dire à sa jeunesse
"Bye bye! Bye bye!"
Un soir, c’est la fin du voyage
On a passé le pont tremblant
Et voici qu’autour du visage
Les cheveux gris deviennent blancs
On sait, quand vient cette seconde,
Combien l’orgueil était trompeur
Et qu’il n’est rien qui vaille au monde
Un peu d’amour et de bonheur
Le pauvre cœur par élégance
Veut encore un instant crâner
Mais il faut dire à l’existence
"Bye bye! Bye bye!"