Les paroles de la chanson
« C'est une gamine charmante »
Bourvil
Quand je la croisai l’autre soir,
C’était vers minuit, rue d’Athènes
La voyant seule qui se promène,
Je lui dis : Mon enfant, bonsoir
J’ajoutai : A cette heure indue,
Que faites-vous donc dans la rue?
Naïvement, et sans savoir,
Elle dit : Je fais le trottoir.
{Refrain:}
C’est une gamine charmante, charmante, charmante,
Qui possède une âme innocente, innocente
En elle, tout est poésie, poésie
Elle a vraiment un nom charmant, Aspasie (ou : Elle répond au joli nom d’Aspasie)
Devant la blancheur et l’éclat
De son cou plus blanc que l’albâtre,
Je m’écrie : Quel coup de théâtre,
Quel coup du Ciel, quel coup d’Etat!
Oh! fit-elle d’un p’tit air honnête,
Vous n’ connaissez que mon coup d’ tête,
Mais vous serez chipé, je l’ crains,
Quand vous connaîtrez mon coup de reins!
{au Refrain}
C’était vers minuit, rue d’Athènes
La voyant seule qui se promène,
Je lui dis : Mon enfant, bonsoir
J’ajoutai : A cette heure indue,
Que faites-vous donc dans la rue?
Naïvement, et sans savoir,
Elle dit : Je fais le trottoir.
{Refrain:}
C’est une gamine charmante, charmante, charmante,
Qui possède une âme innocente, innocente
En elle, tout est poésie, poésie
Elle a vraiment un nom charmant, Aspasie (ou : Elle répond au joli nom d’Aspasie)
Devant la blancheur et l’éclat
De son cou plus blanc que l’albâtre,
Je m’écrie : Quel coup de théâtre,
Quel coup du Ciel, quel coup d’Etat!
Oh! fit-elle d’un p’tit air honnête,
Vous n’ connaissez que mon coup d’ tête,
Mais vous serez chipé, je l’ crains,
Quand vous connaîtrez mon coup de reins!
{au Refrain}