Les paroles de la chanson
« Ça sent la friture »
Lys Gauty
Entends le printemps gazouiller
Je sais un hôtel familier
Où les amants vont effeuiller la marguerite
Il est situé au bord de l’eau
On y loue barques et canots
Le samedi, les calicots s’y précipitent
Pour s’y régaler de beignets
De goujons frits, de vin bouché,
De tarte aux pommes, de poulet, de mirabelles
On ne saurait mieux être ailleurs
Il fait rêver les plus railleurs
Car les baisers sont bien meilleurs sous les tonnelles
{Refrain:}
Ça sent la nature
Ça sent la verdure
Et les doux aveux
Ça sent la rivière
Ça sent la poussière
Ça sent le ciel bleu
Ça sent l’odeur des blonds cheveux
Des yeux rieurs, des lèvres pures
Ça sent le printemps langoureux
Et la friture!
Si vous voulez vous mettre au vert
Passer l’ dimanche en pull-over
Esquisser la valse à l’envers et le quadrille
Pêcher l’ablette, prendre un bain
Rire et chanter de gais refrains
Il suffit de monter dans l’ train à la Bastille
On est quatre en comptant Loulou
Je donne, coupe, sans atout
Contre, surcontre "T’es pas fou?" Tierce et belote!
À toi d’attaquer! Cœur et cœur
Pendant ce temps les canoteurs
Piquent une tête avec ardeur au fond d’ la flotte
{au Refrain}
Nous irons, veux-tu, mon amour
Quand tu voudras, à notre tour
Dans cet hôtel, passer huit jours pour faire un songe
Tu croiras avoir dix-sept ans
Que tu as peur de ta maman
Que je suis ton premier amant, tendre mensonge
Et moi, je croirai que tu es
Celle que jadis j’attendais
Lorsque adolescent, je rêvais de choses folles!
Dans la nuit, je te conduirai
Et le parfum de la forêt
Soudain nous fera chavirer sur l’herbe molle
{au Refrain}
Je sais un hôtel familier
Où les amants vont effeuiller la marguerite
Il est situé au bord de l’eau
On y loue barques et canots
Le samedi, les calicots s’y précipitent
Pour s’y régaler de beignets
De goujons frits, de vin bouché,
De tarte aux pommes, de poulet, de mirabelles
On ne saurait mieux être ailleurs
Il fait rêver les plus railleurs
Car les baisers sont bien meilleurs sous les tonnelles
{Refrain:}
Ça sent la nature
Ça sent la verdure
Et les doux aveux
Ça sent la rivière
Ça sent la poussière
Ça sent le ciel bleu
Ça sent l’odeur des blonds cheveux
Des yeux rieurs, des lèvres pures
Ça sent le printemps langoureux
Et la friture!
Si vous voulez vous mettre au vert
Passer l’ dimanche en pull-over
Esquisser la valse à l’envers et le quadrille
Pêcher l’ablette, prendre un bain
Rire et chanter de gais refrains
Il suffit de monter dans l’ train à la Bastille
On est quatre en comptant Loulou
Je donne, coupe, sans atout
Contre, surcontre "T’es pas fou?" Tierce et belote!
À toi d’attaquer! Cœur et cœur
Pendant ce temps les canoteurs
Piquent une tête avec ardeur au fond d’ la flotte
{au Refrain}
Nous irons, veux-tu, mon amour
Quand tu voudras, à notre tour
Dans cet hôtel, passer huit jours pour faire un songe
Tu croiras avoir dix-sept ans
Que tu as peur de ta maman
Que je suis ton premier amant, tendre mensonge
Et moi, je croirai que tu es
Celle que jadis j’attendais
Lorsque adolescent, je rêvais de choses folles!
Dans la nuit, je te conduirai
Et le parfum de la forêt
Soudain nous fera chavirer sur l’herbe molle
{au Refrain}