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Les paroles de la chanson
« Deux aviateurs »
Divers

Deux aviateurs confiants dans leur projet
Traverser l’Atlantique
Deux aviateurs confiants dans leur projet
Ont quitté le Bourget
Et profitant d’un dimanche au printemps
Dans l’espace ils s’élancent
Tous deux montés sur un bel oiseau blanc
Pour vaincre l’océan

{Refrain:}
Ils sont partis tous les deux
A travers les cieux, le sourire aux lèvres
Sans crainte de l’ouragan ni du mauvais temps
Que la brise soulève et dans l’espoir d’arriver
Se sont envolés, sublime conquête,
Bravant le danger et la mort qui les guette

Voilà deux jours que nos gars sont partis
Dans la vive lumière
Sont-ils vivants ou sont-ils engloutis
Dans l’océan maudit?
De toute part, on entend annoncer une vive nouvelle
Qui nous dira si nos gars sont partis
Ou s’ils sont engloutis

{au Refrain}

Mais cependant, restée seule à Paris
Une pauvre mère
Qui n’oublie pas que son cher petit
En partant lui a dit :
Je pars sur un bel oiseau blanc
T’inquiète pas maman, je reviendrai vite
C’est pour que tous les pays
Soient bien tous unis avec l’Amérique
Joyeusement je m’en vais
Apporter d’ la paix et de l’espérance,
J’emporte avec moi le baiser de la France

{au Refrain}

La la la...
Joyeusement je m’en vais
Apporter d’ la paix et de l’espérance
J’emporte avec moi le baiser de la France


[Autre version de la chanson:]


Depuis trois ans, ayant fait le projet
Traverser l’Atlantique
Deux aviateurs confiants dans le progrès
Ont quitté Le Bourget
Et profitant d’un dimanche de printemps
Dans l’espace ils s’élancent
Tous deux montés sur leur grand Oiseau Blanc
Pour vaincre l’océan

{Refrain:}
Ils sont partis tous les deux
A travers les cieux
Le sourire aux lèvres
Sans crainte de l’ouragan
Ni des mauvais temps
Qu’ la Grande Bleue soulève
Et dans l’espoir d’arriver
Se sont envolés
D’un geste suprême
Bravant la mort, les dangers qui les guettent

Voilà trois jours que nos gars sont partis
De la Ville-Lumière
Sont-ils arrivés
Ou peut-être engloutis
Dans l’océan maudit?
De toute part, on attend, oppressés
Une petite nouvelle
Qui nous dira qu’ils sont bien arrivés
Qu’on les a retrouvés

{au Refrain}

Combien de temps pourra-t-on espérer
Une bonne nouvelle?
Combien de jours et de nuits angoissés
Dans tout le monde entier?
Pendant ce temps, toute seule à Paris
Reste une pauvre mère
Qui se souvient que son cher petit
En partant lui promit :
Je pars sur mon Oiseau Blanc
T’inquiète pas, maman
J’ reviendrai bien vite
Car c’est pour notre industrie
Que j’ vole de Paris
A la grande Amérique
Faut pas te désespérer
Rien n’ peut m’arriver
Au delà des frontières
J’emporte avec moi les baisers de ma mère