Les paroles de la chanson
« J'ai ri… puis j'ai pleuré »
Mirane Esbly
Lorsqu’on s’est connus et que moi, confiante,
Je m’imaginais être aimée toujours,
Je rêvais, hélas, une vie riante,
Pleine de bonheur grâce à notre amour.
Et, lorsqu’on m’ disait : Méfie-toi, ma belle,
Celui qui t’a prise avec ses serments
En a fait autant avec toutes celles
Que sut captiver ce beau donjuan.
En écoutant cela, j’ai ri,
Ah ah ah ah ah,
Et puis, j’ai répondu : Tant pis.
Mais, lorsque seule, j’ai pensé
A mon bonheur menacé,
Alors, le cœur un peu blessé,
J’ai pleuré...
Puis, pour notre enfant, toujours sans me plaindre, je fermai les yeux et,
quand tu rentras, je n’ te fis pas d’ scène. Mais à bout d’ contrainte,
un jour tout d’ même, je te dis : Voilà.
Je sais qu’une gueuse m’a pris tes tendresses.
Alors, toi, ailleurs, tu me fis : C’est vrai.
J’ai soupé de toi. J’aime une autre maîtresse.
Oh, surtout pas d’ scène. Adieu, sans regrets.
En écoutant cela,
Ah ah ah ah ah
J’ai ri
Et puis, j’ai répondu : Vas-y.
Mais, quand je t’ai vu, sans sourciller,
Sans un regard, t’en aller,
Alors, le cœur désespéré,
J’ai pleuré...
Puis, prenant soudain dans mes bras notre gosse,
Décidée à tout, je suivis tes pas
J’ te vis avec l’autre. Oh! Ce fut atroce.
Toi, tu f’sais l’ beau, riant aux éclats.
Alors, je vis rouge et, folle de souffrance,
Pour vous tuer tous deux, je levais le bras
Quand notre petiot, dans son innocence,
Se mit à crier : P’tite mère, c’est papa!
Tu t’es retourné, l’enfant a ri.
Alors, seulement, tu as compris.
Car, te souvenant du passé,
Tu m’as dit : Veux-tu me pardonner?
Et, sur mon bonheur retrouvé,
J’ai pleuré...
Je m’imaginais être aimée toujours,
Je rêvais, hélas, une vie riante,
Pleine de bonheur grâce à notre amour.
Et, lorsqu’on m’ disait : Méfie-toi, ma belle,
Celui qui t’a prise avec ses serments
En a fait autant avec toutes celles
Que sut captiver ce beau donjuan.
En écoutant cela, j’ai ri,
Ah ah ah ah ah,
Et puis, j’ai répondu : Tant pis.
Mais, lorsque seule, j’ai pensé
A mon bonheur menacé,
Alors, le cœur un peu blessé,
J’ai pleuré...
Puis, pour notre enfant, toujours sans me plaindre, je fermai les yeux et,
quand tu rentras, je n’ te fis pas d’ scène. Mais à bout d’ contrainte,
un jour tout d’ même, je te dis : Voilà.
Je sais qu’une gueuse m’a pris tes tendresses.
Alors, toi, ailleurs, tu me fis : C’est vrai.
J’ai soupé de toi. J’aime une autre maîtresse.
Oh, surtout pas d’ scène. Adieu, sans regrets.
En écoutant cela,
Ah ah ah ah ah
J’ai ri
Et puis, j’ai répondu : Vas-y.
Mais, quand je t’ai vu, sans sourciller,
Sans un regard, t’en aller,
Alors, le cœur désespéré,
J’ai pleuré...
Puis, prenant soudain dans mes bras notre gosse,
Décidée à tout, je suivis tes pas
J’ te vis avec l’autre. Oh! Ce fut atroce.
Toi, tu f’sais l’ beau, riant aux éclats.
Alors, je vis rouge et, folle de souffrance,
Pour vous tuer tous deux, je levais le bras
Quand notre petiot, dans son innocence,
Se mit à crier : P’tite mère, c’est papa!
Tu t’es retourné, l’enfant a ri.
Alors, seulement, tu as compris.
Car, te souvenant du passé,
Tu m’as dit : Veux-tu me pardonner?
Et, sur mon bonheur retrouvé,
J’ai pleuré...