Les paroles de la chanson
« Jungle urbaine »
S-Crew
[Refrain]
Je n’ai pas le moral même si mon rap a la dent dure et
j’arrête mon taff, allez on part à l’aventure.
Obéir à des Tron-Pa non ça j’ai du mal à l’endurer.
Fallait qu’on se batte vu qu’on est face à la censure (eh eh)
C’est L’Entourage on est plein sur scène, équipe de dingue dans la jungle urbaine frelon.
Parfum de bière et de peinture fraîche.
J’laisse des séquelles comme un coup de ceintures (eh eh eh)
Le rap c’est un virus mais mon flow ne se transmet pas non.
Je m’occupe pas de ce que tu penses mais de de ce que pensent mes parents.
Tellement pressé de percer, pas la patience d’écrire.
Le malheur m’étouffent, je veux que ce qui ont pas de chance respirent.
Dans le peu-ra je ferai mon temps sans dépasser la date limite.
Les MC quand je gratte m’imitent et puis s’inspire de chaque mimique.
Je met des baffes lyriques et les wacks militent.
Le cerveau de ces cons s’atrophie.
Lutter contre tout le monde, j’ai pas le temps donc je me consacre aux filles.
Mon flow fait mal, car j’accouche de mes mots sans péridurale.
Je veux m’échapper, j’habite une petite maison dans la prairie du mal.
Quoi de neuf dans le pays du rap?
On dit que les cons veulent m’enfoncer.
que j’aurai pas de permis durable
et que je maitrise pas le bon français.
J’ai ravalé ma haine ouais ça valait la peine.
Je fais toujours la sourde oreille quand un de ces attardés m’appelle.
Je kiff les pistes de sampleur, je veux etre triste mais sans peur
en me voyant survoler Rio comme le Christ Redempteur.
[Refrain]
Frérot je te promets que je pourrais tuer de mes deux mains,
ceux qui voudrait porter l’oeil à la prunelle de mes yeux,
J’ai pas rempli mon portefeuille.
J’ai juré que je le ferais demain.
Fuir mais rester serein.
Dans la ur très peu de chemin.
Tout les jours fuir la mort de peu.
Rester fort, faire renaître le bien.
Je vois les corps des pauvres dehors,
je ressors la fumée de mes yeux.
Un joint pour sécher mes larmes.
Un point de vue qui frappe l’audition.
J’étais un moins que rien j’ai cherché mes talents.
Les profs ils voulaient réfréner mes ardeurs,
mais je préférais etre rappeur
et j’ai fait mes galons (eh)
ça t’es égal d’être du coté des spectateurs,
t’as ta teille, ta play, ta flemme et caetera (jeune)
Il faut que tu cogites même sous gros shit viens!
Il faut que tu t’oxygènes ton quotidien est toxique,
faut que tu profites bien.
C’est pas possible d’etre aussi blême.
Moi aussi je ressens des vagues de flemmes,
Mais quand un proche me dit qu’il faut s’y mettre, j’y vais...
[Refrain]
(paroles proposé par chouette_lama)
Je n’ai pas le moral même si mon rap a la dent dure et
j’arrête mon taff, allez on part à l’aventure.
Obéir à des Tron-Pa non ça j’ai du mal à l’endurer.
Fallait qu’on se batte vu qu’on est face à la censure (eh eh)
C’est L’Entourage on est plein sur scène, équipe de dingue dans la jungle urbaine frelon.
Parfum de bière et de peinture fraîche.
J’laisse des séquelles comme un coup de ceintures (eh eh eh)
Le rap c’est un virus mais mon flow ne se transmet pas non.
Je m’occupe pas de ce que tu penses mais de de ce que pensent mes parents.
Tellement pressé de percer, pas la patience d’écrire.
Le malheur m’étouffent, je veux que ce qui ont pas de chance respirent.
Dans le peu-ra je ferai mon temps sans dépasser la date limite.
Les MC quand je gratte m’imitent et puis s’inspire de chaque mimique.
Je met des baffes lyriques et les wacks militent.
Le cerveau de ces cons s’atrophie.
Lutter contre tout le monde, j’ai pas le temps donc je me consacre aux filles.
Mon flow fait mal, car j’accouche de mes mots sans péridurale.
Je veux m’échapper, j’habite une petite maison dans la prairie du mal.
Quoi de neuf dans le pays du rap?
On dit que les cons veulent m’enfoncer.
que j’aurai pas de permis durable
et que je maitrise pas le bon français.
J’ai ravalé ma haine ouais ça valait la peine.
Je fais toujours la sourde oreille quand un de ces attardés m’appelle.
Je kiff les pistes de sampleur, je veux etre triste mais sans peur
en me voyant survoler Rio comme le Christ Redempteur.
[Refrain]
Frérot je te promets que je pourrais tuer de mes deux mains,
ceux qui voudrait porter l’oeil à la prunelle de mes yeux,
J’ai pas rempli mon portefeuille.
J’ai juré que je le ferais demain.
Fuir mais rester serein.
Dans la ur très peu de chemin.
Tout les jours fuir la mort de peu.
Rester fort, faire renaître le bien.
Je vois les corps des pauvres dehors,
je ressors la fumée de mes yeux.
Un joint pour sécher mes larmes.
Un point de vue qui frappe l’audition.
J’étais un moins que rien j’ai cherché mes talents.
Les profs ils voulaient réfréner mes ardeurs,
mais je préférais etre rappeur
et j’ai fait mes galons (eh)
ça t’es égal d’être du coté des spectateurs,
t’as ta teille, ta play, ta flemme et caetera (jeune)
Il faut que tu cogites même sous gros shit viens!
Il faut que tu t’oxygènes ton quotidien est toxique,
faut que tu profites bien.
C’est pas possible d’etre aussi blême.
Moi aussi je ressens des vagues de flemmes,
Mais quand un proche me dit qu’il faut s’y mettre, j’y vais...
[Refrain]
(paroles proposé par chouette_lama)
