Les paroles de la chanson
« La maison de parapluies »
Carine Erseng
Dans ma maison de parapluies
Que les passants photographient
C’est vous dire si elle est charmante
Enchante, enchante les amoureux de la poésie
Mais ma maison de parapluies
Ne fait pas bien peur à la pluie
Quand vient le moindre p’tit orage
Je nage, je nage, mouillée de la tête au tapis
J’ai peur des intempéries, la nuit
J’ai peur quand tout s’écroule comme un
Wagon de larmes
Et qu’il ne reste rien de moi
Car ma maison de parapluies
Ne sait pas me mettre à l’abri
Avec ses armatures fragiles
En fil, en fil, elle se plie au gré de la pluie
Quand vient l’été, je suis ravie
Car soudain tous mes parapluies
Se changent en jolis parasols
Del sol, au sol, je dis adios à mes soucis
L’hiver est déjà bien loin, en juin
Dans l’air, volent de doux parfums
Et j’en oublie le temps des orageux chagrins
Si vous me croisez un beau matin
Surtout, entrez sans frapper, vous êtes les bienvenus
En plus, il n’y a pas de palier
Dans ma maison de parapluies
Où rien n’avoir n’a pas de prix
Je pourrai quand même vous offrir
Un large sourire
Et peut-être un beau parapluie
Que les passants photographient
C’est vous dire si elle est charmante
Enchante, enchante les amoureux de la poésie
Mais ma maison de parapluies
Ne fait pas bien peur à la pluie
Quand vient le moindre p’tit orage
Je nage, je nage, mouillée de la tête au tapis
J’ai peur des intempéries, la nuit
J’ai peur quand tout s’écroule comme un
Wagon de larmes
Et qu’il ne reste rien de moi
Car ma maison de parapluies
Ne sait pas me mettre à l’abri
Avec ses armatures fragiles
En fil, en fil, elle se plie au gré de la pluie
Quand vient l’été, je suis ravie
Car soudain tous mes parapluies
Se changent en jolis parasols
Del sol, au sol, je dis adios à mes soucis
L’hiver est déjà bien loin, en juin
Dans l’air, volent de doux parfums
Et j’en oublie le temps des orageux chagrins
Si vous me croisez un beau matin
Surtout, entrez sans frapper, vous êtes les bienvenus
En plus, il n’y a pas de palier
Dans ma maison de parapluies
Où rien n’avoir n’a pas de prix
Je pourrai quand même vous offrir
Un large sourire
Et peut-être un beau parapluie