Les paroles de la chanson
« Le temps des fleurs »
Ivan Rebroff
Dans une taverne du vieux Londres
Où se retrouvaient des étrangers
Nos voix criblées de joie montaient de l’ombre
Et nous écoutions nos cœurs chanter
C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La, la, la...
On était jeunes et l’on croyait au ciel
Et puis sont venus les jours de brume
Avec des bruits étranges et des pleurs
Combien j’ai passé de nuits sans lune
A chercher la taverne dans mon cœur
Tout comme au temps des fleurs
Où l’on vivait sans peur
Où chaque jour avait un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La, la, la...
On était jeunes et l’on croyait au ciel
Je m’imaginais chassant la brume
Je croyais pouvoir remonter le temps
Et je m’inventais des clairs de lune
Où tous deux nous chantions comme avant
C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La, la, la...
On était jeunes et l’on croyait au ciel
Et ce soir je suis devant la porte
De la taverne où tu ne viendras plus
Et la chanson que la nuit m’apporte
Mon cœur déjà ne la reconnaît plus
C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La la la...
On était jeunes et l’on croyait au ciel
Où se retrouvaient des étrangers
Nos voix criblées de joie montaient de l’ombre
Et nous écoutions nos cœurs chanter
C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La, la, la...
On était jeunes et l’on croyait au ciel
Et puis sont venus les jours de brume
Avec des bruits étranges et des pleurs
Combien j’ai passé de nuits sans lune
A chercher la taverne dans mon cœur
Tout comme au temps des fleurs
Où l’on vivait sans peur
Où chaque jour avait un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La, la, la...
On était jeunes et l’on croyait au ciel
Je m’imaginais chassant la brume
Je croyais pouvoir remonter le temps
Et je m’inventais des clairs de lune
Où tous deux nous chantions comme avant
C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La, la, la...
On était jeunes et l’on croyait au ciel
Et ce soir je suis devant la porte
De la taverne où tu ne viendras plus
Et la chanson que la nuit m’apporte
Mon cœur déjà ne la reconnaît plus
C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La la la...
On était jeunes et l’on croyait au ciel