Les paroles de la chanson
« Lettre à… »
Michel Noirret
{Refrain:}
Pour t’écrire mon amour
Me faudrait du papier velours {x2}
Et seul mon sang serait digne
D’être l’encre de ces lignes
Je te dirais que je t’aime
Je te le dirais encore
D’autres ont déjà sur ce thème
Égrené plus d’un accord
Ce n’est guère original
C’est un air vieux comme le monde
Pourrais-je être aussi banal
Que ma tendresse est profonde? {x2}
{au Refrain}
J’appellerais ça "poème"
Ça ne peut pas faire de tort
Qu’importe le stratagème
J’y évoquerais ton corps
Quand il se fait animal
Lorsque le désir l’inonde
Ton sourire matinal
Et tes griffes quand tu grondes {x2}
{au Refrain}
Jusqu’au petit matin blême
Sans faiblir dans mon effort
Je suivrais dans sa bohème
Ma plume sergent-major
Conduisant le carnaval
De mes pensées vagabondes
En émoi grammatical
Au nom de tes boucles blondes {x2}
{au Refrain}
C’est tout mon cœur que je sème
Dans cette lettre et, dès lors
Un facteur viendra lui-même
Le faire fleurir à ton port
Un facteur sentimental
Beau et doux, plein de faconde
Qui, en son devoir postal,
Attendra que tu répondes {x2}
{au Refrain}
Pour t’écrire mon amour
Me faudrait du papier velours {x2}
Et seul mon sang serait digne
D’être l’encre de ces lignes
Je te dirais que je t’aime
Je te le dirais encore
D’autres ont déjà sur ce thème
Égrené plus d’un accord
Ce n’est guère original
C’est un air vieux comme le monde
Pourrais-je être aussi banal
Que ma tendresse est profonde? {x2}
{au Refrain}
J’appellerais ça "poème"
Ça ne peut pas faire de tort
Qu’importe le stratagème
J’y évoquerais ton corps
Quand il se fait animal
Lorsque le désir l’inonde
Ton sourire matinal
Et tes griffes quand tu grondes {x2}
{au Refrain}
Jusqu’au petit matin blême
Sans faiblir dans mon effort
Je suivrais dans sa bohème
Ma plume sergent-major
Conduisant le carnaval
De mes pensées vagabondes
En émoi grammatical
Au nom de tes boucles blondes {x2}
{au Refrain}
C’est tout mon cœur que je sème
Dans cette lettre et, dès lors
Un facteur viendra lui-même
Le faire fleurir à ton port
Un facteur sentimental
Beau et doux, plein de faconde
Qui, en son devoir postal,
Attendra que tu répondes {x2}
{au Refrain}