Les paroles de la chanson
« Métamorphose »
Marcel Véran
Un jour en longeant la rivière
D’un lac scintillant d’eau vive
Je vis s’approcher en glissant
Lentement
Un beau cygne blanc.
Sur lui le soleil s’accroche
Son flanc, sur les eaux ricoche
L’oiseau dédaigneux, majestueux,
Dérivant sous le vent se rapproche.
L’appelant, vers lui je tends les bras
Brusquement, on dirait qu’il vient vers moi.
Frémissant, je l’attends le guettant,
Et ma main leste fait un geste
Le cygne, un instant se penche,
Couché sur ses ailes blanches
Et comme j’allais l’approcher, le toucher,
L’oiseau s’en est allé
Il s’enfuit poussant un cri d’effroi.
Tristement, malgré moi je pense à toi,
Qui, jadis, es partie
Comme lui, sans m’entendre, sans comprendre,
Ainsi, par un soir perfide,
Retrouvant la maison vide,
J’ai vu disparaître à jamais
Mon bonheur, avec toi, que j’aimais
D’un lac scintillant d’eau vive
Je vis s’approcher en glissant
Lentement
Un beau cygne blanc.
Sur lui le soleil s’accroche
Son flanc, sur les eaux ricoche
L’oiseau dédaigneux, majestueux,
Dérivant sous le vent se rapproche.
L’appelant, vers lui je tends les bras
Brusquement, on dirait qu’il vient vers moi.
Frémissant, je l’attends le guettant,
Et ma main leste fait un geste
Le cygne, un instant se penche,
Couché sur ses ailes blanches
Et comme j’allais l’approcher, le toucher,
L’oiseau s’en est allé
Il s’enfuit poussant un cri d’effroi.
Tristement, malgré moi je pense à toi,
Qui, jadis, es partie
Comme lui, sans m’entendre, sans comprendre,
Ainsi, par un soir perfide,
Retrouvant la maison vide,
J’ai vu disparaître à jamais
Mon bonheur, avec toi, que j’aimais