Les paroles de la chanson
« Mimi »
Bernard Dimey
Mimi... toi qui n’aimes pas l’accordéon musette
Qui serais plutôt Beatles, pop musique et tout ça
Un soir, je t’emmènerai dans une petite guinguette
C’est sans doute la dernière et c’est un Auvergnat
Qui tient ça depuis toujours et qui veut pas qu’ ça change
Qui vend le même vin blanc depuis mil neuf cent vingt
C’est gentil, c’est discret, personne ne vous dérange
Et y a trois beaux lampions tout au fond du jardin
Mimi, si tu viens là, j’ te présenterai l’équipe
Y s’ront contents d’ te voir, j’ai tant parlé de toi
Un sourire du patron entre deux bouffées de pipe
Le p’tit verre de l’accueil sur le vieux zinc en bois
Maria, la patronne, du fond de sa cuisine
T’observera de loin, de son p’tit œil en coin
Puis viendra t’embrasser en t’appelant "Ma cousine!"
En me recommandant d’être à tes petits soins
Et Léon sortira son instrument rustique
D’un étui de bois noir, fatigué de partout
Tous ceux qui sont fervents de ce genre de musique
Vont se mettre à guincher, à souffler des mots doux
J’ te dirai "Mademoiselle, accordez-moi cette danse"
Toi, tu diras "Monsieur, je ne vous connais pas"
J’ répondrai "C’est comme ça qu’un grand amour commence"
Et comme un débutant, j’ te prendrai dans mes bras
Mimi, fais-moi plaisir, même si t’aimes pas l’ musette
Appelle ça du folklore et tu l’ regretteras pas
Allons-y samedi soir car ma petite guinguette
Si on attendait trop, j’ai peur... qu’on la retrouve pas
Qui serais plutôt Beatles, pop musique et tout ça
Un soir, je t’emmènerai dans une petite guinguette
C’est sans doute la dernière et c’est un Auvergnat
Qui tient ça depuis toujours et qui veut pas qu’ ça change
Qui vend le même vin blanc depuis mil neuf cent vingt
C’est gentil, c’est discret, personne ne vous dérange
Et y a trois beaux lampions tout au fond du jardin
Mimi, si tu viens là, j’ te présenterai l’équipe
Y s’ront contents d’ te voir, j’ai tant parlé de toi
Un sourire du patron entre deux bouffées de pipe
Le p’tit verre de l’accueil sur le vieux zinc en bois
Maria, la patronne, du fond de sa cuisine
T’observera de loin, de son p’tit œil en coin
Puis viendra t’embrasser en t’appelant "Ma cousine!"
En me recommandant d’être à tes petits soins
Et Léon sortira son instrument rustique
D’un étui de bois noir, fatigué de partout
Tous ceux qui sont fervents de ce genre de musique
Vont se mettre à guincher, à souffler des mots doux
J’ te dirai "Mademoiselle, accordez-moi cette danse"
Toi, tu diras "Monsieur, je ne vous connais pas"
J’ répondrai "C’est comme ça qu’un grand amour commence"
Et comme un débutant, j’ te prendrai dans mes bras
Mimi, fais-moi plaisir, même si t’aimes pas l’ musette
Appelle ça du folklore et tu l’ regretteras pas
Allons-y samedi soir car ma petite guinguette
Si on attendait trop, j’ai peur... qu’on la retrouve pas