Les paroles de la chanson
« Mon daron »
Balbino Medellin
Moi, mon daron, c’était vraiment une drôle de race
J’ai jamais vu la tendresse dans ses yeux
Il avait un chien, un survêt, une moustache
Et un gun qui lui f’sait briller les yeux mais moi
{Refrain:}
Mais moi, j’ regardais en face le soleil
Pour plus voir son regard, j’étais un p’tit prince en galère
Aujourd’hui, quand j’éteins la lumière
Y a toujours dans ma mémoire
Comme une étincelle, un néon
Une étincelle, un néon qui m’ lâche pas
Et chez mon daron, c’était pas un palace
J’ passais mes journées dehors à fumer des gitanes
Au bord d’un ravin, au fond d’une impasse
La fin d’une Valstar et le début d’un long, long couloir
{au Refrain}
Souvent, ça remonte quand j’ai trop tisé
Ça cavale dans mes veines et ça fait bem bem bem
C’est H24 et cada noche que j’ traîne ça
Mais j’arrête, là, c’est mort
Moi, mon daron, c’était une drôle de crasse
Et sa poufiasse, le soir, me crachait au visage
J’osais pas m’essuyer, c’était pire qu’un coup d’ schlass
Dehors, le paysage passait du rouge à la rage
{au Refrain, x2}
J’ai jamais vu la tendresse dans ses yeux
Il avait un chien, un survêt, une moustache
Et un gun qui lui f’sait briller les yeux mais moi
{Refrain:}
Mais moi, j’ regardais en face le soleil
Pour plus voir son regard, j’étais un p’tit prince en galère
Aujourd’hui, quand j’éteins la lumière
Y a toujours dans ma mémoire
Comme une étincelle, un néon
Une étincelle, un néon qui m’ lâche pas
Et chez mon daron, c’était pas un palace
J’ passais mes journées dehors à fumer des gitanes
Au bord d’un ravin, au fond d’une impasse
La fin d’une Valstar et le début d’un long, long couloir
{au Refrain}
Souvent, ça remonte quand j’ai trop tisé
Ça cavale dans mes veines et ça fait bem bem bem
C’est H24 et cada noche que j’ traîne ça
Mais j’arrête, là, c’est mort
Moi, mon daron, c’était une drôle de crasse
Et sa poufiasse, le soir, me crachait au visage
J’osais pas m’essuyer, c’était pire qu’un coup d’ schlass
Dehors, le paysage passait du rouge à la rage
{au Refrain, x2}