Les paroles de la chanson
« Pas d'âge »
Vanessa Guedj
Après des années d’solitude
A compter les mouches, à parler aux murs
Tu décides, pleine d’incertitudes
D’faire une retouche à ton allure
V’là qu’tu t’fardes, que tu t’pomponnes
Tu t’fais même faire une mise en plis
Des années que tu fais la nonne
Sous prétexte que tu as vieilli
Un dimanche de printemps
Tu t’en vas chez Gégène
La musique d’antan
Te rend anti-chrétienne
T’es là qu’tu t’trémousses sur la piste
Tu ne sens même plus ton arthrose
Quand soudain tu r’connais Maurice
Alors là, c’est l’apothéose
Tu t’souviens, les yeux plein d’étoiles
De ce jeune homme, qui, il y a des années
Arriva en demi-finale
Dans la course pour t’épouser
Mais faut bien dire qu’à l’époque
T’étais déjà en cloque
Tu lui avais préféré
Ce gros con de... Roger!
Pendant un mois y t’fait la cour
Y te chante même la sérénade
Vous qui n’pensiez plus à l’amour
V’là qu’Cupidon part en croisade
Un soir tu l’invites à dîner
T’es nerveuse, comme à tes vingt ans
Pis enfin, vous vous embrassez
Tu as le coeur tout palpitant
Vous passez à côté,
Tu éteins la lumière,
Vous êtes un peu gênés,
Savez plus comment faire
Mais le sexe, c’est comme le vélo
Heureusement ça ne s’oublie pas
Tant que l’on a sa libido
Du coeur, du temps et du Viagra
Vos cols de fémur en plastique
Vous permettent toutes les fantaisies
Et les dentiers c’est bien pratique
Ça évite les étourderies
Pour l’amour et le reste
Comme quoi y a pas d’âge
Et je clame sans conteste
Vive le batifolage!
Les années passent, c’est merveilleux
Comme jamais, comme toujours,
Puis un soir, Maurice ferme les yeux
Bonjour tristesse, adieu l’amour
Tu l’auras attendue longtemps
La plus belle histoire de ta vie
Tu t’endors, paisiblement
Ça valait le coup,
Ça valait l’coup, ça, oui...
A compter les mouches, à parler aux murs
Tu décides, pleine d’incertitudes
D’faire une retouche à ton allure
V’là qu’tu t’fardes, que tu t’pomponnes
Tu t’fais même faire une mise en plis
Des années que tu fais la nonne
Sous prétexte que tu as vieilli
Un dimanche de printemps
Tu t’en vas chez Gégène
La musique d’antan
Te rend anti-chrétienne
T’es là qu’tu t’trémousses sur la piste
Tu ne sens même plus ton arthrose
Quand soudain tu r’connais Maurice
Alors là, c’est l’apothéose
Tu t’souviens, les yeux plein d’étoiles
De ce jeune homme, qui, il y a des années
Arriva en demi-finale
Dans la course pour t’épouser
Mais faut bien dire qu’à l’époque
T’étais déjà en cloque
Tu lui avais préféré
Ce gros con de... Roger!
Pendant un mois y t’fait la cour
Y te chante même la sérénade
Vous qui n’pensiez plus à l’amour
V’là qu’Cupidon part en croisade
Un soir tu l’invites à dîner
T’es nerveuse, comme à tes vingt ans
Pis enfin, vous vous embrassez
Tu as le coeur tout palpitant
Vous passez à côté,
Tu éteins la lumière,
Vous êtes un peu gênés,
Savez plus comment faire
Mais le sexe, c’est comme le vélo
Heureusement ça ne s’oublie pas
Tant que l’on a sa libido
Du coeur, du temps et du Viagra
Vos cols de fémur en plastique
Vous permettent toutes les fantaisies
Et les dentiers c’est bien pratique
Ça évite les étourderies
Pour l’amour et le reste
Comme quoi y a pas d’âge
Et je clame sans conteste
Vive le batifolage!
Les années passent, c’est merveilleux
Comme jamais, comme toujours,
Puis un soir, Maurice ferme les yeux
Bonjour tristesse, adieu l’amour
Tu l’auras attendue longtemps
La plus belle histoire de ta vie
Tu t’endors, paisiblement
Ça valait le coup,
Ça valait l’coup, ça, oui...