Les paroles de la chanson
« Rouge »
DobaCaracol
Armée contre armée, les canons se rivent
Effacent les sourires en visant l’autre rive
Une rafale de balles, la tyrannie s’installe
Les gamins gisent et, à leur guise,
Les fusils des soldats s’aiguisent
L’oppression, la panique dans une vague frénétique
Un carnage éminent aux pointes de kandjars tranchants
Les obus éclatent dans un éclair de feu
La couleur écarlate teint le sol brûlant
{Refrain:}
Cris d’alarme et trop de larmes
La folie se répand sous l’emprise des armes
Cris d’alarme et trop de larmes
Sous le corps des enfants, une explosion de flammes
Cris d’alarme et trop de larmes
La terreur se propage sous l’emprise du mal
Cris d’alarme et trop de larmes
Sous le poids des bombes, le peuple s’effondre
Lucifer croise le feu sur les champs de bataille
Sous les mines de l’enfer, teintées de rage animale
La terreur dans les yeux, Ogmios à leurs trousses
Suppliant tous les dieux, ils retiennent leur souffle
Tant de femmes ont hurlé la mort de leurs enfants
De détresses accablées, blasphémant tous les vents
Tant d’enfants ont hurlé, le regard rivé vers les cieux
Errant parmi les décombres, craignant la dernière bombe
Le soupir du monde
{au Refrain}
Que vous reste-t-il de vos valeurs futiles
En pointant droit devant le regard d’un enfant?
Effacent les sourires en visant l’autre rive
Une rafale de balles, la tyrannie s’installe
Les gamins gisent et, à leur guise,
Les fusils des soldats s’aiguisent
L’oppression, la panique dans une vague frénétique
Un carnage éminent aux pointes de kandjars tranchants
Les obus éclatent dans un éclair de feu
La couleur écarlate teint le sol brûlant
{Refrain:}
Cris d’alarme et trop de larmes
La folie se répand sous l’emprise des armes
Cris d’alarme et trop de larmes
Sous le corps des enfants, une explosion de flammes
Cris d’alarme et trop de larmes
La terreur se propage sous l’emprise du mal
Cris d’alarme et trop de larmes
Sous le poids des bombes, le peuple s’effondre
Lucifer croise le feu sur les champs de bataille
Sous les mines de l’enfer, teintées de rage animale
La terreur dans les yeux, Ogmios à leurs trousses
Suppliant tous les dieux, ils retiennent leur souffle
Tant de femmes ont hurlé la mort de leurs enfants
De détresses accablées, blasphémant tous les vents
Tant d’enfants ont hurlé, le regard rivé vers les cieux
Errant parmi les décombres, craignant la dernière bombe
Le soupir du monde
{au Refrain}
Que vous reste-t-il de vos valeurs futiles
En pointant droit devant le regard d’un enfant?