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Les paroles de la chanson
« Sales stories (feat syndika) »
Falcko

Faire peter, être un Y’ouv c’est pas ça, t’es flingué comme le premier classe A, quoi d’neuf au Barca, pour 10 (???), j’te vague ça, j’fais une loque au nom d’ta grand-mère la pute, et j’me barre au Barça. Histoire de (???) portoricaine, a l’arrière d’une berline qui pour l’wee-kend coûte le tarot d’une bretline, histoire de baiser sans payer, Pss j’prefere les histoire de grosses et les voitures béliers, pessimiste et vie des " yes, we can ", vas dire sa a une passeuse mexicaine, est-ce qu’il le peuvent? parler de Barrio, oui, convoiter en peignerie comme un quit de seum, par les gars qu’il connaissent, histoire levatos, histoire de putes de maricones, conronpue une salope sans insister, histoire de 08 dans un 90D, histoire en France et de blockeuh, l’adolescence de Glockeuh, histoire des gens hard de mother fuckeur. Reflechi avant d’faire chier la daronne, Ra-ta-ta-ta buenas Suerte Cabron,

( Refrin anglais )

Syndika :
Histoire d’un drive buy paris-malaga basseuse vocale, ma boca, fusil a (???) omologué, t’auras pas finir d’gémir tant qu’jaurai pas fini d’ger-man, quand tu cours a (???) tu peux compter que sur tes jambes, histoire d’un negro mé-cra qué pasa t’es passé où? pas là pour danser l’zouk, ici (???).. pour s’faire des housses, parler au bagnou? qu’est-ce que j’men bat les couilles, j’les ballait tous, fais pas la sourde oreille quand ton poto est à l’écoute, histoire d’un braquage à Barcelone, grosses carabines les bras s’élèvent, les bagues se perdent tous ça pour finir au Caraîbe. Impro IB, drogue Pays-Bas, vus que les interets haussent les profits baissent, 5ème est la vitesse, nos V2 (???), si tu te sent viser nigga c’est qu’j’tes dans le viseur, histoire de represaille, qui visera ta tête? Ra-ta-ta-ta-ta devant un bereda ne fait l’entêté.

(Refrin anglais)

Syndika:
Gucci, Dolce, Armani avec l’argent sale en harmonie chacun fait du biff à sa manière, j’en ai dans la tête, rien a foutre d’être paraque, tout vas bien tant qu’fais rentré d’la freesh a la baraque, histoire de faire des sous vendre quelques barrètes, y’a que la street qui t’paraine, ici c’est Paris que des gabs tarrés, pas d’quataris t’es pas d’chez nous augmente les tarots, un air chelou des mecs pas ronds, des mecs parrés, a risquer leur vies pour un billet d’500, on parle parle pas dans l’vide tu finira dans un bain d’sang, entourés par des fous dangereux, Ksos tu veux qué-bra histoire d’imiter mérine vincent cassel, il n’en restera qu’un seul, le (???) street call seen, on t’bassine, sa t’fascine Aah s’arracher du zon, aya bouza, boussa, on n’est plusieurs à vouloir brasser, on à tous le brassard.

(Refrin anglais)