Les paroles de la chanson
« Si vous croyez »
Jean-Marc Le Bihan
Si vous croyez que j’ vais me taire
Dire au bon Dieu qu’ j’aime pas l’enfer
Au diable j’ n’aime pas l’ paradis
Vous vous trompez, mes chers amis,
Je ne chante pas pour vous plaire
J’ chante pas non plus pour vous déplaire
Je chante au cri de mes passions
J’suis un champ de blé sans moisson
Je suis la goutte d’eau
Qui fait déborder le verre
Je suis source ou ruisseau
T’es à l’endroit, j’ suis à l’envers
Si j’ suis tombé le cul par terre
Ce n’est pas de la faute à Voltaire
Si j’ suis tombé le cul dans l’eau
Ce n’est pas de la faute à Rousseau
D’ailleurs, c’est d’ la faute à personne
C’est vrai, la vie n’est pas toute bonne
Mais si c’est d’ la faute à quelqu’un
J’ vous jure, j’ m’en souviens plus très bien
Je suis un oiseau sans cage
Une tendresse sans caresse
La vie se tourne page à page
J’ai perdu mon carnet d’adresses
Je prie debout, pas à genoux
Chante aux étoiles mon amour fou
Je pleure à inonder la nuit
Mais si je pleure c’est que je suis
Chante comme un alléluia
Pour ceux d’en haut, pour ceux d’en bas
Ecrire, ça, c’est mon blues à moi
Je n’ possède rien mais j’ai de la voix
Je ne suis pas un pont
Je suis une passerelle
Qu’elle soit ange ou démon
Ne priez pas pour elle
Ô mon enfant, si tu savais
Mais le temps n’est pas au regret
Ô mes amours, j’ vous aime encore
Dans mon bonheur, y a de la douleur
Je rêve de neiges éternelles
D’un edelweiss dans nos poubelles
Du rire d’un grand alligator
D’une île vierge sans trésor
Je suis l’été qui rêve d’hiver
Une Arletty sans atmosphère
Un journaliste sans fait-divers
Une galaxie sans la Terre
Si j’ suis tombé le cul par terre
Non, c’est pas de la faute à Voltaire
Si j’ suis tombé le cul dans l’eau
Non, c’est pas de la faute à Rousseau
C’est sûr c’est d’ la faute à pas d’ chance
Au désespoir à l’espérance
C’est d’ la faute à n’importe qui
Ça, c’est mon p’tit doigt qui m’ l’a dit
Un jour, j’irai voir la mer
Je me jetterai dans ses eaux
Te souviens-tu, ma mère,
Quand tu perdais tes eaux?
Un jour, j’irai voir la mer
Je me jetterai, je me jetterai dans ses eaux
Te souviens-tu, ma mère,
Quand tu perdais tes eaux?
Dire au bon Dieu qu’ j’aime pas l’enfer
Au diable j’ n’aime pas l’ paradis
Vous vous trompez, mes chers amis,
Je ne chante pas pour vous plaire
J’ chante pas non plus pour vous déplaire
Je chante au cri de mes passions
J’suis un champ de blé sans moisson
Je suis la goutte d’eau
Qui fait déborder le verre
Je suis source ou ruisseau
T’es à l’endroit, j’ suis à l’envers
Si j’ suis tombé le cul par terre
Ce n’est pas de la faute à Voltaire
Si j’ suis tombé le cul dans l’eau
Ce n’est pas de la faute à Rousseau
D’ailleurs, c’est d’ la faute à personne
C’est vrai, la vie n’est pas toute bonne
Mais si c’est d’ la faute à quelqu’un
J’ vous jure, j’ m’en souviens plus très bien
Je suis un oiseau sans cage
Une tendresse sans caresse
La vie se tourne page à page
J’ai perdu mon carnet d’adresses
Je prie debout, pas à genoux
Chante aux étoiles mon amour fou
Je pleure à inonder la nuit
Mais si je pleure c’est que je suis
Chante comme un alléluia
Pour ceux d’en haut, pour ceux d’en bas
Ecrire, ça, c’est mon blues à moi
Je n’ possède rien mais j’ai de la voix
Je ne suis pas un pont
Je suis une passerelle
Qu’elle soit ange ou démon
Ne priez pas pour elle
Ô mon enfant, si tu savais
Mais le temps n’est pas au regret
Ô mes amours, j’ vous aime encore
Dans mon bonheur, y a de la douleur
Je rêve de neiges éternelles
D’un edelweiss dans nos poubelles
Du rire d’un grand alligator
D’une île vierge sans trésor
Je suis l’été qui rêve d’hiver
Une Arletty sans atmosphère
Un journaliste sans fait-divers
Une galaxie sans la Terre
Si j’ suis tombé le cul par terre
Non, c’est pas de la faute à Voltaire
Si j’ suis tombé le cul dans l’eau
Non, c’est pas de la faute à Rousseau
C’est sûr c’est d’ la faute à pas d’ chance
Au désespoir à l’espérance
C’est d’ la faute à n’importe qui
Ça, c’est mon p’tit doigt qui m’ l’a dit
Un jour, j’irai voir la mer
Je me jetterai dans ses eaux
Te souviens-tu, ma mère,
Quand tu perdais tes eaux?
Un jour, j’irai voir la mer
Je me jetterai, je me jetterai dans ses eaux
Te souviens-tu, ma mère,
Quand tu perdais tes eaux?