Les paroles de la chanson
« Tendre »
Matthieu Côte
Au creux de la main qu’elle me tendait
Tendre, tendre mais sans conviction
Une douce chaleur réchauffait
Tendrement ma patte glaçante
J’ai cru bon de goûter son sourire
Mais il a disparu comme j’y posais les lèvres
Je la vis, émouvante, pâlir
Comme, comme sortie d’un rêve
Elle m’a regardé, gênée et si belle
Si belle quand ont rosi ses joues
Moi gêné, je la trouvais belle
Si belle quand ont rosi ses joues
{Refrain:}
J’avais cru bon de goûter son sourire
Mais il a disparu comme j’y posais les lèvres
Je la vis, émouvante, pâlir
Comme, comme sortie d’un rêve
Puis elle a repris son chemin, muette
Muette, et le nez dans son col
Je la suivais, ah je me trouvais bête
Si bête, les yeux rivés au sol
{au Refrain}
Elle n’est pas de celles qui s’abandonnent
Se donnent pour un oui pour un non
Mais elle est de celles qui nous pardonnent
D’avoir pris pour des oui ses non
{au Refrain}
Au creux de la main qu’elle me tendait
Une douce chaleur réchauffait
Tendre, tendre mais sans conviction
Une douce chaleur réchauffait
Tendrement ma patte glaçante
J’ai cru bon de goûter son sourire
Mais il a disparu comme j’y posais les lèvres
Je la vis, émouvante, pâlir
Comme, comme sortie d’un rêve
Elle m’a regardé, gênée et si belle
Si belle quand ont rosi ses joues
Moi gêné, je la trouvais belle
Si belle quand ont rosi ses joues
{Refrain:}
J’avais cru bon de goûter son sourire
Mais il a disparu comme j’y posais les lèvres
Je la vis, émouvante, pâlir
Comme, comme sortie d’un rêve
Puis elle a repris son chemin, muette
Muette, et le nez dans son col
Je la suivais, ah je me trouvais bête
Si bête, les yeux rivés au sol
{au Refrain}
Elle n’est pas de celles qui s’abandonnent
Se donnent pour un oui pour un non
Mais elle est de celles qui nous pardonnent
D’avoir pris pour des oui ses non
{au Refrain}
Au creux de la main qu’elle me tendait
Une douce chaleur réchauffait