Les paroles de la chanson
« Tu m'as appris »
Nicole Croisille
Tu m’as appris la tendresse
De tes mains magiciennes
La douceur, la tristesse
Des violons de Verlaine
Tu m’as appris que tout change
En un seul tour de Terre
Tu m’as fait croire aux anges
Mais sans toi, même le ciel est désert
Alors le monde, sans toi
Ce n’est pas un monde fait pour moi
C’est le silence partout
Partout, ton absence
J’aimais la vie
C’est fini
Soudain
Plus rien n’a d’importance
J’ai le cœur tout nu
Je suis perdue
Tu m’as appris les nuits blanches
Les matins qu’on étire
La tiédeur des dimanches
Le bonheur qui chavire
Tu m’as appris le parjure
Et qu’il peut tout détruire
Que vraiment rien ne dure
Et sans toi, je n’ai plus d’avenir
Pas de soleil loin de toi
J’ai si froid, j’ai tant besoin de toi
La solitude me tue, je ne suis plus personne
J’aimais la vie
C’est fini
Sans toi
Tu vois
Je déraisonne
J’ai, par-dessus tout,
Envie de nous
Tu m’as appris les voyages
Les amants de Vérone
Londres sans les nuages
Et Paris en automne
Tu m’as appris que, sans rêves,
On est seule et fragile
C’est le mien qui s’achève
Et sans toi, j’ai le cœur en exil
De tes mains magiciennes
La douceur, la tristesse
Des violons de Verlaine
Tu m’as appris que tout change
En un seul tour de Terre
Tu m’as fait croire aux anges
Mais sans toi, même le ciel est désert
Alors le monde, sans toi
Ce n’est pas un monde fait pour moi
C’est le silence partout
Partout, ton absence
J’aimais la vie
C’est fini
Soudain
Plus rien n’a d’importance
J’ai le cœur tout nu
Je suis perdue
Tu m’as appris les nuits blanches
Les matins qu’on étire
La tiédeur des dimanches
Le bonheur qui chavire
Tu m’as appris le parjure
Et qu’il peut tout détruire
Que vraiment rien ne dure
Et sans toi, je n’ai plus d’avenir
Pas de soleil loin de toi
J’ai si froid, j’ai tant besoin de toi
La solitude me tue, je ne suis plus personne
J’aimais la vie
C’est fini
Sans toi
Tu vois
Je déraisonne
J’ai, par-dessus tout,
Envie de nous
Tu m’as appris les voyages
Les amants de Vérone
Londres sans les nuages
Et Paris en automne
Tu m’as appris que, sans rêves,
On est seule et fragile
C’est le mien qui s’achève
Et sans toi, j’ai le cœur en exil