Les paroles de la chanson
« Baci baci baci »
France Gall
Depuis que nous avons quitté Paris
Et que tu rêves d’être en Italie
Tu déclenches une vraie révolution
Quand tu apparais
Les filles s’arrachent ton blouson doré
Se précipitent pour mieux t’embrasser
Et toi, tu croules sous leurs baci, leurs baisers
Regarde-moi
Au lieu d’accepter comme ça
Des tas de baci, baci, baci, baci
Regarde-moi
Tu disparais dans leurs bras
Et tu te laisses avec joie
Couvrir de baci, baci, baci, ba
Regarde-moi
Je n’existe plus pour toi
Devant leurs baci, baci, baci, baci
Regarde-moi
Tu ne me vois plus déjà
Je suis séparée de toi
Parmi leurs baci, baci, baci, ba
Si toutes ces filles te voyaient le matin
Les yeux bouffis dans notre salle de bain
Te battre chaque jour contre une balance
Elles rigoleraient bien
A la maison tu ne tiens pas debout
Mais le soir devant elles, tu fais la roue
Ce qui m’énerve, c’est que ça marche
A tous les coups
Regarde-moi
Au lieu d’accepter comme ça
Des tas de baci, baci, baci, baci
Regarde-moi
Tu disparais dans leurs bras
Et tu te laisses avec joie
Couvrir de baci, baci, baci, ba
Regarde-moi
Je n’existe plus pour toi
Devant leurs baci, baci, baci, baci
Regarde-moi
Tu ne me vois plus déjà
Je suis séparée de toi
Parmi leurs baci, baci, baci, ba
La la la la, la la la la la la la
La la la Baci, baci, baci, baci
La la la la, la la la la la la la
La la la la la la la la la la Baci, baci, baci, ba
La la la la, la la la la la la la
La la la la, la la la la la la la
Et que tu rêves d’être en Italie
Tu déclenches une vraie révolution
Quand tu apparais
Les filles s’arrachent ton blouson doré
Se précipitent pour mieux t’embrasser
Et toi, tu croules sous leurs baci, leurs baisers
Regarde-moi
Au lieu d’accepter comme ça
Des tas de baci, baci, baci, baci
Regarde-moi
Tu disparais dans leurs bras
Et tu te laisses avec joie
Couvrir de baci, baci, baci, ba
Regarde-moi
Je n’existe plus pour toi
Devant leurs baci, baci, baci, baci
Regarde-moi
Tu ne me vois plus déjà
Je suis séparée de toi
Parmi leurs baci, baci, baci, ba
Si toutes ces filles te voyaient le matin
Les yeux bouffis dans notre salle de bain
Te battre chaque jour contre une balance
Elles rigoleraient bien
A la maison tu ne tiens pas debout
Mais le soir devant elles, tu fais la roue
Ce qui m’énerve, c’est que ça marche
A tous les coups
Regarde-moi
Au lieu d’accepter comme ça
Des tas de baci, baci, baci, baci
Regarde-moi
Tu disparais dans leurs bras
Et tu te laisses avec joie
Couvrir de baci, baci, baci, ba
Regarde-moi
Je n’existe plus pour toi
Devant leurs baci, baci, baci, baci
Regarde-moi
Tu ne me vois plus déjà
Je suis séparée de toi
Parmi leurs baci, baci, baci, ba
La la la la, la la la la la la la
La la la Baci, baci, baci, baci
La la la la, la la la la la la la
La la la la la la la la la la Baci, baci, baci, ba
La la la la, la la la la la la la
La la la la, la la la la la la la