Les paroles de la chanson
« Imagine-toi »
Francis Cabrel
Imagine une nuit d’hiver
Des arbres morts, les bras ouverts
Une nuit profonde et glacée
Que tu est seul à traverser
Le vent a dû brûler tes mains
T’es presque à genoux quand soudain
Dans la nuit d’hiver que tu imagines
Se lève un feu sur la colline
Imagine, imagine-toi
Tu as moins peur, tu as moins froid
Imagine, imagine un peu
Comme la première fois que j’ai croisé ses yeux
Devant chez toi tout a vieilli
Tout a séché, tout a jauni
Le fleuve a fini de couler
Tout a tu peux l’imaginer
La terre craque et se divise
Le soleil brûle ta chemise
Tu crois que tout va disparaître
Quand tu entends une source naître
Imagine, imagine-toi
Tu as moins peur, tu as moins froid
Imagine, imagine un peu
Comme la première fois que j’ai croisé ses yeux
Tu fais la collection des femmes
Tu a fait un lac avec leurs larmes
Pour s’asseoir dans ta limousine
Elles se battent, j’imagine
Ton bonheur ressemble à l’hiver
À un paysage à l’envers
Tu as toujours peur, tu as toujours froid
Puisque tu ne la connais pas
Imagine, imagine-toi
Tu as moins peur, tu as moins froid
Imagine, imagine un peu
Comme la première fois que j’ai croisé ses yeux
Des arbres morts, les bras ouverts
Une nuit profonde et glacée
Que tu est seul à traverser
Le vent a dû brûler tes mains
T’es presque à genoux quand soudain
Dans la nuit d’hiver que tu imagines
Se lève un feu sur la colline
Imagine, imagine-toi
Tu as moins peur, tu as moins froid
Imagine, imagine un peu
Comme la première fois que j’ai croisé ses yeux
Devant chez toi tout a vieilli
Tout a séché, tout a jauni
Le fleuve a fini de couler
Tout a tu peux l’imaginer
La terre craque et se divise
Le soleil brûle ta chemise
Tu crois que tout va disparaître
Quand tu entends une source naître
Imagine, imagine-toi
Tu as moins peur, tu as moins froid
Imagine, imagine un peu
Comme la première fois que j’ai croisé ses yeux
Tu fais la collection des femmes
Tu a fait un lac avec leurs larmes
Pour s’asseoir dans ta limousine
Elles se battent, j’imagine
Ton bonheur ressemble à l’hiver
À un paysage à l’envers
Tu as toujours peur, tu as toujours froid
Puisque tu ne la connais pas
Imagine, imagine-toi
Tu as moins peur, tu as moins froid
Imagine, imagine un peu
Comme la première fois que j’ai croisé ses yeux